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 Lestat de Lioncourt, la véritable histoire.

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Lestat
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Lestat


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Date d'inscription : 02/07/2005

Lestat de Lioncourt, la véritable histoire. Empty
MessageSujet: Lestat de Lioncourt, la véritable histoire.   Lestat de Lioncourt, la véritable histoire. EmptyDim 30 Avr à 23:21

De tous les temps, les hommes et femmes libre on aimé entretenir le mystère autours de leur personne. Cela ne faisait qu’augmenter la crainte qu’ils inspiré à leurs ennemis, car la ou il n’y a pas de vérité, il y a la rumeur. Moi aussi j’aime ce petit jeu, et bien des ragots cour a mon sujet. Mais alors que je soufflerai bientôt ma vingt-huitième bougie, il me vient le besoin pressant d’écrire une biographie, dénué de légende, de fioriture, de description n’ayant pour seul but que d’agrandir encore cette auréole de mystère autour de ma personne. Pourquoi une biographie ? Je ne sais guère, alors que les années passent plus vite qu’un groupe de dauphin, je me dis que tout être rêve d’entré dans les plus grandes légendes… Peut être que je serai mort demain, ou même après demain ! J’ai choisi une voie qui ne mène que très rarement vers une belle retraite dans une villa, moi aussi un jour je finirai sûrement un sabre dans le ventre ou au bout d’une corde ! Et le meilleur moyen de resté immortel par delà même notre propre mort est bien celui du souvenir. J’espère qu’avec ce présent livre, des gens se souviendrons de moi. En tant qu’homme, en tant que pirate, en tant que guerrier, en tant que légende !

Je sais parfaitement que tous ne seront pas d’accord. Pour certain, je ne serai qu’un lâche qui mérite son cercueil, pour d’autre, je serai un être qui mérité la vie éternelle… J’accepterai les jugements, si je puis les voir après ma mort. Déjà aujourd’hui je l’accepte, je me rend compte que le jugement est bien peu de chose.

J’ai une petite pensée pour ce cher Among, lui comprendra sans doute ce que je veux dire.
C’est sur ces mots que j’achève ce préface, afin de commencé une histoire que je n’ai presque jamais raconté, mon histoire.



Alors voilà, je naquis en juin mille cinq cent soixante dix huit, quelque part en Auvergne. Mon nom complet est Lestat Maximilien De Lioncourt, oui, un noble. On pourrai me juger sur ce simple fait, mais du noble je n’ai que le titre. La richesse de ma famille était épuisé bien avant ma naissance, et mon père avait bien du mal à entretenir la propriété familiale. Bonheur dans le malheur, cela nous avez beaucoup rapproché de nos « sujets » et entre nous, il n’existait plus aucune différence, j’ai grandi dans le respect d’autrui, et l’égalité de tous. Je suis né dans l’une des chambre de notre château, château aujourd’hui restauré par mes soins mais qui à l’époque ne payer pas de mine. Bien des vitre était brisé et une aile complète n’était plus habité, de nombreux trou dans le toit la rendant invivable. Les première année de ma vie furent tranquille, après tout, on ne demande rien à un bambin. Mes deux frères me dorloté entre deux chasse, l’un d’eux commença même, alors que je n’avais que sept ans, ma formation en l’art de l’escrime. Oui, j’appel cela un art car pour moi s’en est un, qui réclame sang froid et dextérité. Mais à l’époque, je considéré cela comme un jeu, y trouvant aussi amusant que les batailles de boules de neige, l’hiver. Haa, l’hiver auvergnois, je pourrai écrire bien des pages sur cette belle saison. Je me souviens lorsque, assis devant la fenêtre, je guettai l’entré principal du jardin, guettant mes frères et mon père, afin de me précipité dehors pour leurs tendre une embuscade et déclenché une bataille ! Mais la brave Yvette me laissé rarement sortir tant que je n’était pas chaudement habillé, Yvette… Elle était comme une seconde mère !

Non pas que je reproche quoi que ce soit à ma mère naturel, mais l’accouchement eut quelques imprévu, et elle était grandement affaiblis depuis… De ce fait, même si elle m’inondé d’amour, elle n’avait pas vraiment l’énergie nécessaire à l’éducation d’un enfant. Ce fut un drame lorsqu’elle nous quitta, alors que je n’avais qu’à peine onze ans. Mais je n’en suis pas encore la, la première parti de ma vie fut un bonheur complet. Nous avions peu de chose, parfois même nous ne mangions pas à notre fin, mais cela n’avait guère d’importance.
Plus, un jour de printemps, lors de ma dixième année, mes frères décidèrent de m’emmener à la chasse ! Mon père, bien d’accord, dépensa ses maigres finance et, n’ayant pas les moyens de m’offrir un fusil, m’acheta un magnifique pistolet, ou il fit gravé mes initial. Je porte toujours ce pistolet à la ceinture, d’ailleurs.

Je me souviens que j’était monté avec Pierre sur son cheval, il n’était pas le plus vieux de mes frères, mais il était déjà très mature. « Un jour, toi aussi tu aura ton propre cheval » me disait-il, et moi, rêveur comme un enfant, je m’imaginé déjà sur mon propre destrier, accompagnant mon père à la chasse, afin de nourrir ma mère…

Quel bonheur que la balade en foret, même au-delà de la chasse, simplement sentir les milles et une senteur des bois, cueillant les fruits des arbres et les champignon ! Ce jour-ci, nous n'avons rien ramené, mais la balade fut fantastique, et des gens du village ayant attrapé de nombreuse proie, toute la famille parti dîné en compagnie de ces braves gens, qui jamais ne nous aurais refusé un repas, fussions-nous noble ou pas.

C’est ainsi que s’achève la première partie de ma vie, en effet, la suite ne fut que banal, j’allais de plus en plus souvent à la chasse, devenant expert au tir au pistolet, je revendais les peau de mes prises pour m’acheter un sabre à moi !

Ce sabre, je l’eut l’année de mes onze ans, mais cela marqua le début d’une époque noir de ma vie, que j’écrirai plus tard, car j’entends John qui hurle des ordres la sur le pont, et je vais de ce pas allez voir ce qu’il se passe…
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